JE ME CONNECTE
Convaincus que le président Biya s\'apprête à passer la main, des lobbies,réseaux et même des gangs sont en branle pour la succession.Comme il est fréquent dans ce genre de scenario de fin de règne,tous les coups sont permis. L’on brandit une retouche constitutionnelle au gré des intérêts. Mettant l’actuelle constitution au placard.Alors, on a vite sorti des postes de vice-présidents, plaçant le Senat hors course. Et ça chauffe autour du Président de la République qui, détient encore toutes les cartes dans sa main. Mais, au-delà du sphinx politique d’Etoudi, des questions se posent, comme celle qui revient sur toutes les lèvres à savoir, quelle fraction poussera plus le vice pour prendre la relève ?